4 janvier 2011
LA CENTRALE d' Elisabeth Filhol
Solitaires et silencieux, ils sont les intérimaires de la « centrale », vivant au fil des fleuves, de chantiers en chantiers .Ils sont la « chair à neutron », exposés, en péril mais toujours fascinés par ces énormes turbines, prisonniers de ces fumées blanches
Dans ce premier roman pas de pathos, pas de compassion, mais des faits, des gestes, des procédures.
Etonnant, froid et pourtant bouillant, comme l’eau qui alimente les tuyaux de ce monde sous haute surveillance.
Catherine
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